Alice et le chandelier
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Série Alice de Caroline Quine, tome 9 : Alice et le chandelier (= The Sign of the twisted Candles : Le signe des chandelles torses)©Librairie Hachette, 1967 - Collection Bibliothèque Verte rigide, numéro 20 - Imprimé en France Brodard & Taupin, imprimeur-relieur Paris- Dépôt légal : 2ème trimestre 1967 - Texte français d'Hélène Commin et illustrations d'Albert Chazelle.
Ce roman a été publié pour la première fois en 1933 à New York et en 1956 en France. Il a été écrit par Mildred Wirt Benson. Caroline Quine étant un nom de plume sous lequel se cachent 28 auteurs différents. Mildred Wirt Benson a écrit les 23 premiers romans de la série Alice.
Alice tombe en panne avec son beau cabriolet bleu car l'orage fait rage... Accompagnée de ses amies Bess et Marion, elle est contrainte de s'arrêter dans une auberge où elle fait la connaissance de la jeune Peggy Bess, surexploitée par ses parents adoptifs (cela ressemble un peu à un remake de Cosette chez les Thénardier...)
Alice et ses amies apprennent que le propriétaire, M. Sidney Asa, fête ses 100 ans. Elles décident de se joindre à lui et elles vont mettre le pied, encore une fois, dans un problème d'héritage. Seule Peggy s'intéressent au vieillard, mais ce n'est pas elle l'héritière. Ses parents adoptifs, les Semitt, non seulement l'exploite cruellement, mais en plus, ils volent les biens d'Asa Sydney. Ils préparent leur part d'héritage, en quelque sorte !
Asa en a assez du comportement de ses neveux, M Banks et Sydney, qui se battent à sa porte pour avoir son héritage. Il demande à M Roy, le père d'Alice d'écrire un nouveau testament... Quelques jours après, il décède laissant Peggy dans le plus grand désarroi. Alice va devoir mettre son grain de sel pour aider Peggy à savoir qui étaient ses parents et pour empêcher les Semitt de continuer à piller la demeure !
Trois étoiles pour cette histoire un peu théâtrale. Nous voici au 9ème roman d'Alice et on retrouve toujours les mêmes éléments que dans les tomes précédents : un orage et un héritage...
Jamais de morts bien sûr, à l'époque, on pensait qu'il ne fallait pas choquer les enfants et les adolescents avec des morts, aujourd'hui la littérature de jeunesse en est pleine...
Les deux personnages qui souhaitent hériter (M. Banks et Sydney) sont comme des acteurs qui jouent la comédie, ils reviennent sans cesse et ne font que se chamailler sans jamais rien obtenir...
Cela alourdit cette histoire un peu confuse mais qui est toujours pleine de bons sentiments...